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La Vie de Mafalda 101 et cie
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13 avril 2008

13/4/07 - Voyage France - Argentina

Bonjour

Je ne suis pas contente, car je n'ai pas réussi à mettre mes posts à temps dans mon blog.
Je voulais publier chaque jour un billet (avec un décalage d'un an tout juste) qui correspondait à un jour de notre voyage en Argentine. Les souvenirs sont toujours là, présents.
Je m'occupe aujourd'hui du 13 avril et je vais me rattraper, je ne sais pas comment.
Mais je vais essayer !!

Hola, no estoy contenta hoy porque no logré hacer lo q' tenia previsto.
Queria publicar cada dia un post q' correspondia a un dia del viaje q' hicimos a la Argentina con un decalage de 1 año.
Q' barbaro como pasa el tiempo y como los recuerdos siguen ahi intactos, en la memoria. Hoy me ocupo del 13, y despues vemos como hago para llegar a ponerme al dia.

13/4/07

PICT0001 Aéroport de Marseille.

Tomamos el avion de Iberia en Marsella hasta Madrid.

Se hizo esperar ... el muy desgraciado!
Empezaron a llamar a ciertos pasajeros, los de 1era clase, me imagino. No se veia mucho movimiento. Siguieron llamando a los mismos pasajeros, 1 y otra vez. Y nada o muy poco movimiento.

Nous avons pris l'avion de la compagnie Iberia à l'aéroport de Marseille jusqu'à Madrid. Nous avons attendu beaucoup avant de pouvoir embarquer. Il était prévu à 19H00 et nous sommes partis vers 20H45 ou quelque chose comme ça.

Nous avons entendu l'appel de certains passagers, cela devait être l'appel de la Première Classe.

Après cette longue attente, enfin le moment de l'embarquement général. Et là,  un type se pointe et commence à faire un scandale parce qu'il n'avait pas été appelé, selon lui. L'hôtesse a essayé de lui dire que cela faisait un bon moment qu'ils faisaient passer l'annonce. L'espagnol en colère a traité l'hôtesse de menteuse et elle n'a pas apprécié cela.

Finalement, tous très nerveux pour le retard et pour cet abruti avons réussi à monter à bord de l'avion.

Pas de problèmes avec les places, tous allait bien jusque là.

Todo era orden y enojo, pero todos se mantuvieron correctamente, salvo un "español" q' empezo a joder, perdon, a gritar.
Se quejaba en ingles, empezo a decir q' no lo habian llamado, q' la empleada era una mentirosa, la pobre se mataba diciendole q' lo habian estado llamando desde hacia unos 20 min.

El tipo seguia insistiendo, pienso q' buscaba una compensacion de algun tipo.

Todos los q' estaban ahi, escucharon los llamados.

Estabamos ya en la cola p/ poder subir al avion. La sra q' se encontraba justo delante mio, al momento de presentar sus papeles, le dijo a la empleada q' habia escuchado q' llamaban. La chica estaba contenta, al fin alguien le creia.

Q' paso?

El tipo se vino como un carancho a decirle :" ja, y como es que me llamo, eh? a ver, como me llamo?

La sra trato de repetir algunos de los q' habia escuchado, y el tipo le dijo q' no sabia nada!

Cuando fue mi turno, yo tambien le dije a la chica q' habiamos escuchado q' habian estado llamandolos.

Y al parecer, se quedo mas tranquila, estaba muy nerviosa, y claro, el tipo la trataba de mentirosa.

Enfin, nerviosos por el retraso y por ese tarado, subimos al avion y buscamos nuestros lugares. Los 4 asientos juntos, 2 de cada lado del pasillo.

Hasta ahi, ningun otro problema.

L'avion était petit, mais nous sommes arrivés à bon port. Nous avions les 4 sièges alignés, 2 de chaque côté du couloir. Parfait.
Changement à Barajas direction Buenos Aires.
Le changement on l'a senti aussi dans les gens, ils se mettaient tous ensemble, les uns sur les autres, ils se bousculaient. C'était encore pire au moment de l'appel pour l'embarquement, là ils se sont tous jetés pour voir qui allait passer en premier, certains ils te passaient devant sans que tu t'en aperçoives mais d'autres le faisaient sans aucune gêne, ils poussaient et ils passaient.
 

Je ne dis pas qu'ici on ne pousse pas, mais peut-être pas dans un aéroport, a priori tout le monde avait son siège. Nous, chacun avait un siège, ça c'est sûr mais on n'avait pas les numéros. Quand j'ai confirmé les sièges par téléphone j'ai bien demandé si les deux vols avaient été confirmés. L'opératrice m'a dit oui, mais elle n'a pas dû le faire, car au moment de l'appel il fallait avoir un numéro et nous n'en avions pas sur nos billets. Nous nous sommes approchés du comptoir et en arrivant il nous a été dit que nous étions en Stand by (en attente afin de  connaître l'emplacement des sièges libres).

Nous étions un peu dispersés, dans le milieu et la queue, chacun dans un point cardinal différent.

Encontramos un avion chico, bastante chico. Pero bueno, llegamos bien.

Cambiamos en Barajas, tomamos otro un poco mas grande. Direccion : Buenos Aires.

Y ahi si, q' sentimos la diferencia desde ya en la gente, si hubieran visto como se amontonaban cuando dijeron q' se podia embarcar, a ver quien te pasaba adelante sin q' te dieras cuenta, y mismo si te dabas cuenta, te empujaban y pasaban.

Nosotros estabamos en Stand by, la tarada de la mina q' me confirmo el viaje por teléfono, solo confirmo los asientos del 1er avion y tuvimos q' esperar p/ saber donde nos sentabamos.

Y si, nos sentamos en los asientos q' quedaban libres en el medio y en la cola del avion pero uno en cada punto cardinal.

Nous avons essayé de parler à l'hôtesse pour voir si Loulou pouvait au moins s'asseoir près de son frère, vu qu'elle avait peur de voyager en avion. Mais les gens ne voulaient pas bouger. Tous avaient une bonne raison de rester à leur place. Et nous dans l'angoisse. Quel voyage!

Nous avons parlé alors au passager qui était à côté de Kiko. Ce monsieur était très intéressé par l'idée de changer de place car lui aussi avait sa femme au milieu de l'avion là bas, loin. Il est allé se renseigner si le passager qui voyageait à côté de sa femme ne voulait pas changer de place. Il est venu nous dire qu'il voulait bien et donc lui partait rejoindre son épouse.

Jusqu'à ce moment, on n'avait rien gagné. On a laissé arriver le nouveau monsieur et on lui a demandé avec bcp de gentillesse  s'il ne voulait pas prendre la place du milieu (de Loulou) pour que les enfants puissent voyager ensemble. Evidemment il ne voulait pas, il voulait la place "couloir".

Qu'à cela ne tienne, je sautais sur l'occasion pour lui dire: "nous avons aussi une place couloir un peu plus loin" Heureusement.
Et le monsieur est allé occuper la place de notre chef de famille, au milieu de l'avion.

Ouf! Après tout ça, on avait gagné le rapatriement d'un membre de la famille, le père était dans la même rangée que ses enfants, pas très loin et eux voyageaient côté à côté, contents et soulagés que la chose se soit enfin terminée, mais deçus par la mauvaise organisation.

C'est à ce moment-là, et pas avant, que j'ai pu aller chercher ma place. Comme vous pouvez l'imaginer ma place, était le dernier de mes soucis...

Mon siège se trouvait dans le bloc du milieu à côté d'une femme charmante, d'un certain âge, très bavarde, mais qui m'a aidée à faire passer le temps. Elle m'a raconté qu'elle était française, marié à un argentin en Australie. Toute une histoire. Mais c'était bien.

Loulou tenia miedo de viajar sola, asi q' traté de hablarle a la azafata p/ ver si ella al menos no se podia sentar cerca de su hermano.

La mujer hizo todo lo q' pudo pero la gente no se queria cambiar, c/u por su cuenta y q' te pise un tren.

Yo le pregunté a la mujer q' se encontraba al lado de Loulou pero me salto como un perro furioso, diciendome en castellano que ella tambien queria estar al lado de su marido, q' segun ella, estaba enfermo. Capaz era verdad pero no era para saltarme asi, yo tenia el mismo probl q' ella al fin y al cabo.

Asi q' me fui y chamullé al tipo q' estaba sentado al lado de Kiko, un francés, él tambien queria cambiar, su sra estaba sentada mucho mas adelante. Como le convenia a él tambien, sobre todo a él, se fue a ver si el pasajero q' estaba al lado de su mujer queria cambiar de lugar.

Al rato volvio diciendo que se las picaba con su sra xq' el otro pasajero aceptaba cambiar el lugar y nos mando al hombre.

Cuando llego le dijimos si no queria cambiar su lugar (la ventanilla) contra el de Loulou, pero como ella estaba en el medio de los asientos del medio, y este bendito sr queria solo el pasillo, no quiso.

Fue entonces q' saltamos sobre la ocasion diciendole que si queria "un pasillo",  tenia q' ir mas lejos y cambiar el asiento con el padre de Loulou que tenia por suerte un "asiento pasillo".

Estos movimientos nos permitieron acercar al jefe de flia al grupo (ex-desmembrado, ahora casi re-compuesto, todos estabamos en la cola del avion bien al fondo).

Ahora el jefe ocupaba el ex asiento de Loulou, y ella pudo ir a sentarse con Kiko. Eso ya nos hizo estar un poco contentos, los chicos, al menos ellos, viajaban juntos. Uf!

Recién ahi pude buscar mi asiento, justo al lado del pasillo pero en el 1/2, al lado de una sra "charmante", francesa casada con un argentino en Australia, todo una historia, pero por suerte muy simpatica y muy agradable. Charlamos todo el viaje o casi..

Les hôtesses de l'air ne sont plus ce qu'elles étaient.
Le voyage en avion s'est démocratisé, heureusement pour bcp de monde, je n'ai rien contre, mais on n'aurait pas dit qu'on faisait un voyage en avion, plûtot en car, avec des vendeurs ambulants qui crient pour savoir si vous voulez du café ou du thé, un peu l'ambiance d'un stade de foot !!
Je ne sais pas si vous arrivez à voir ce que je veux dire ??

C'est dans cette ambiance (conviviale??) qui s'est déroulé le voyage jusqu'à Buenos Aires.

Arrivée à Ezeiza,  l'employée du Banco Nacion a voulu nous chiper quelques pesos argentinos au moment du changement d'argent. Peut être elle ne l'a pas fait exprès (??????). Malheureusement on a gardé une mauvaise impression!

Avec l'argent local en poche on partait acheter le ticket du bus "Tienda Leon" pour faire le transfert jusqu'au centre-ville.

On commençait là,  notre course "contre-la-montre" pour faire l'Argentine en 3 semaines seulement.

Las azafatas ya no son + lo q'eran antes. El viaje en avion se ha democratizado tanto, por suerte para muchos, no tengo nada contra eso, que ya no parecia un viaje en avion sino un viaje en colectivo o micro de larga distancia con vendedores ambulantes que te gritaban si querias té o café, un poco como si estuvieras en la cancha.

Asi fue hasta Bue, una vez alla, soplamos todo el aire q' nos quedaba.

Una lastima, la primera impresion en Argentina no fue buena. La  "srita" del Banco Nacion q' nos cambio el dinero al llegar, nos quiso currar unos 20 pesos, pero el jefe estaba atento y no se le paso.
Ya teniamos la plata local, era hora de ir a conseguir u
n micro de Tienda Leon q' nos llevara hasta el centro de la ciudad y ahi comenzaba nuestra carrera de la Argentina, en solo 3 semanas.

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Commentaires
M
J'espère que les info te seront utiles.<br /> A bientôt,<br /> <br /> Mafalda101
H
intéréssant ton article!!
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